À l’exception de la fin tardive des galas et des sanctions financières, d’autres sujets ont été discutés, tels que la prime accordée à l’équipe nationale de lutte, lors du point de presse du Comité de Gestion de lutte (CNG) ce vendredi à son siège situé à l’Aréne Nationale.
En ce qui concerne les personnes qui exprimaient leur mécontentement quant à la prime accordée à l’équipe nationale de lutte, le président du CNG Bira Sène a su répondre à ces dernières lors d’une interview accordée à Wiwsport : « Une certaine presse ou certains réseaux sociaux ont affirmé que nous avons fait lutter l’équipe nationale, les champions d’Afrique, et en réalité nous leur avons remis 50 000 ou 70 000 Fcfa. Selon moi, il est essentiel de faire preuve de raison, Il existe des règlements qui régissent les compétitions nationales et internationales. L’athlète, qui lutte, qui porte le maillot national, bénéficie d’une certaine rémunération. Ce n’est pas seulement une prime sectorielle qui attire l’attention de la lutte, mais c’est une prime qui concerne toutes les fédérations, en particulier le sport individuel. »
Avant de continuer : « Quand on mentionne par exemple que l’on a accordé à un lutteur 50 000 ou 60 000 francs, comme il est mentionné partout, cela signifie que c’est 10 000 francs par jour, c’est la prime de participation. » Dix mille francs par jour et par athléte sont la prime de participation. Si vous accomplissez cinq jours, vous recevrez une rémunération de 50.000 francs, ainsi que le transport, de 10.000 francs, ce qui représente 60 000 francs. Cette question a déjà été abordée ailleurs et je tiens à exprimer ma gratitude envers madame la ministre de la jeunesse, des sports et de la culture qui en a discuté lors d’un séminaire. Ce séminaire était organisé dans le but de discuter de la charte du sport, ainsi que de relancer les efforts du fond national de développement du sport. »
Wiwsport.com