« Ibou, je l’ai connu quand il avait 5 ou 6 ans alors que j’entraînais le HAC. J’ai d’ailleurs eu toute la famille. Quand la fédération sénégalaise m’a approché, j’ai eu envie de rendre l’ascenseur à une communauté, très forte dans le quartier de Caucriauville, qui m’avait permis de faire mes armes de jeune entraîneur. C’est affectif, pas une question d’argent. C’est pourquoi cette aventure, j’ai eu envie de la vivre avec des copains, Souleymane Dia et Ibou Diallo. »
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