Lors de leurs assemblées respectives de ce 18 juillet dernier, la Fédération mondiale de badminton (BWF) et l’Association francophone de badminton ont invité le nouveau Comité national de promotion du badminton au Sénégal (CNPBS) à prendre part à ces deux rencontres tenues par la magie du virtuel en format Zoom.
Créé en décembre 2019, le CNPBS a quasiment intégré le Confédération africaine de badminton (CAB), l’association francophone de badminton et surtout la Fédération mondiale de badminton (BWF). Justement ces deux dernières instances ont tenu récemment leurs assemblées générales respectives avec le Sénégal dans la posture de novice.
Pour la Fédération mondiale, sa 81ème session coïncidait avec la toute première présence sénégalaise. Alors que du côté de l’Association francophone, des décisions intéressantes ont été prises lors de ces assises, qui intéressaient le CNPBS, présidé par Antoine Diandy
« Certes, la BDW reconnaît plus les fédérations nationales que les CNP. Mais à partir du moment où l’on devient association nationale on intègre de facto la Fédération mondiale de badminton. Ce qui est le cas actuellement du Sénégal. Pour revenir aux décisions fortes découlant de cette 81ème session de la BDW, on peut noter 7 propositions. Les principales sont la révision des critères de vote, la limitation du mandat du président à 4 olympiades au maximum, la représentation géographique en genre c’est-à-dire hommes et femmes. Ainsi, parmi les 3 personnes appelées à siéger pour l’Afrique au sein de cette instance mondiale, on doit y avoir une dame. Et comme le Sénégal vient à peine d’intégrer la BDW, on apprend d’abord en restant un bon élève. Loin donc dans le choix des postes électifs », dit Antoine Diandy dans Record.
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