Pour la période post-Covid, les composantes de la lutte proposent au CNG le redémarrage de la saison au mois d’octobre, la validité des licences en cours et la réduction de certains frais.
Dans sa politique de mettre en œuvre un plan d’organisation et d’harmonisation de l’arène dans la période post-Covid 19, le CNG avait instruit à l’ensemble des associations et autres acteurs de la lutte de faire des propositions pour trouver des solutions idoines pour sortir de cette crise sanitaire qui a impacté cette discipline. Dans leur écrasante majorité, les composantes de la lutte se sont mis d’accord sur quelques propositions.
Ils veulent sans exception le prolongement de cette saison suspendue depuis le 14 mars dernier sur instruction du chef de l’État. La prolongation de la saison à partir du mois d’octobre aura pour but de poursuivre l’organisation des combats reportés durant cette période de confinement. Les acteurs proposent aussi la validité des licences des promoteurs ainsi que des lutteurs.
En outre, ne figurant pas dans le Fonds Force Covid-19, un programme économique visant à soutenir les secteurs impactés par cette maladie, les acteurs de la lutte recommandent la réduction des frais d’organisation des combats, le tarif de location de l’arène nationale.
En substance, ce sont les points saillants des propositions faites au CNG de lutte pour relancer la compétition. Le bureau du président Alioune Sarr va certainement retenir des mesures. La lutte a besoin d’un soutien indéfectible pour se remettre sur les rails. La pandémie a touché les acteurs de ce sport comme dans les autres secteurs économiques.
arene bi