Pape Badj a quitté le Sénégal en 2010 pour la Suisse où il a signé son premier contrat professionnel avec le SAV Vacallo Basket. Il a su évoluer dans ce championnat avec l'Union Neuchatel, ensuite avec SAM Panier Massagno avant de rejoindre la Belgique et intégrer le groupe de Willebroek en juin 2016.
Comment ça se passe avec votre club ?
« Cela se passe bien avec mon club. On a gagné des matchs à la maison e on à perdu 4 matchs à l’extérieur. Donc pour le moment, nous sommes au milieu du tableau à la 5e place. Donc je pense que ça se passe bien pour le moment ».
Comment trouvez-vous le championnat belge ?
« C’est un championnat élevé avec beaucoup de clubs qui jouent dans la champions League et la Fiba Eurocoupe. Pour moi le championnat belge est un très élevé. L’année dernière, il y’a une équipe en Belgique qui a joué la ligue des champions. Donc le championnat est très relevé »
Quels sont vos ambitions avec le Kangoeroes ?
« Nous avons comme ambition d’aller le plus loin en championnat et se qualifier en play off et pourquoi pas aller en demi-finale. C’est cela nos objectifs et j’espère qu’on va les atteindre. Aller en demi-finale au play off et terminer 4e ou 5e du championnat. C’est cela notre objectif cette saison. Maintenant personnellement je souhaite aussi remporter des trophées avec mon club».
Parlez nous de vos débuts comme basketteur professionnel…
« Mes débuts je me rappelle, ce n’était pas facile. J’ai quitté le Sénégal pour aller jouer directement en Suisse. Donc ce n’était pas facile du tout car je manquais d’expérience. Physiquement je ne tenais pas bien, j’étais jeune. Donc ce n’était pas facile du tout. Dans le niveau professionnel, les joueurs sont déjà expérimentés et sont là physiquement. Moi j’étais là pour apprendre, gagner la confiance du coach et du président pour pouvoir jouer »
Quel est le championnat qui vous a le plus marqué ?
« Les championnats qui m’ont le plus marqué c’est l’Espagne, la Turquie, la France et l’Italie. Ces championnats m’ont beaucoup marqués parce qu’il y’a le basket et le niveau. Il y’a aussi la NBA qui est une autre planète. C’est le championnat dans lequel je rêve évoluer un jour mais pour le moment je me focalise en Europe ».
Donc vous rêvez jouer un jour à la NBA ?
Oui c’est mon rêve. L’année dernière j’avais la possibilité d’intégrer un club américain mais j’avais un problème à la cheville. On avait tout régler avec mon agent mais malheureusement il y’avait la blessure. Mais faut jamais dire jamais dans la vie, que cela soit le footballeur ou le basketteur, le rêve est de jouer dans les plus grands championnats du monde ».
Quel est votre club de cœur ?
Cleveland et le DUC.
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