C’est cet après-midi que débutent au stade Léopold Sédar Senghor, les championnats nationaux du Sénégal. Un rendez-vous pour clôturer la saison. Sur la piste, les sautoirs ou encore les aires de lancer, ils vont rivaliser afin de s’emparer des différents titres nationaux. Pour le Directeur technique national de la Fsa, « nous aurons environ 500 athlètes des clubs de toutes les Ligues régionales dont 250 issus des 14 clubs de Dakar et le reste venus de l’intérieur du pays ».
Amadou Diouf qui renseigne également que les différentes commissions se sont d’ailleurs réunies pour préparer l’événement de souligner que la délégation de Kolda est la première à avoir rejoint Dakar ce mercredi. L’une des particularités de ces présents championnats réside, toujours selon le Dtn, dans le fait qu’ils sont réservés uniquement aux juniors et séniors, après que les petites catégories aient déjà disputé les leurs.
Cette année encore, les championnats se disputeront sans les athlètes expatriés, a dit Amadou Diouf. Qui explique cette situation par le choix de la Fédération de laisser ces athlètes pensionnaires pour la plupart, dans des clubs français de rester dans leurs formations. « Là-bas, ils ont la possibilité de disputer plusieurs compétitions et meetings en Europe. Aussi, les Championnats de France ont lieu le week-end du 14 au 16 juillet ; ils ont donc la possibilité d’y participer » ; une opposition plus relevée que celle de Dakar pour ces athlètes qui préparent de grands rendez-vous. En particulier le plus proche, les Jeux de la Francophonie pour lesquels le Sénégal devra mobiliser entre 18 et 20 athlètes.
L’absence des expatriés ne devrait tout de même pas baisser le niveau des épreuves, selon Amadou Diouf. Qui souligne que des athlètes comme « Sangoné Kandji, Moulaye Sonko et Mamadou Guéye seront de la partie ». Aussi, le travail qui se fait dans les régions, à Kolda et au niveau de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, devrait permettre d’avoir des athlètes de haut niveau. Le Dtn souligne également que les athlètes locaux comme expatriés peuvent également profiter de ces différents rendez-vous pour tenter de réaliser les minimas pour les championnats du monde de Londres.
C’est cet après-midi que débutent au stade Léopold Sédar Senghor, les championnats nationaux du Sénégal. Un rendez-vous pour clôturer la saison. Sur la piste, les sautoirs ou encore les aires de lancer, ils vont rivaliser afin de s’emparer des différents titres nationaux. Pour le Directeur technique national de la Fsa, « nous aurons environ 500 athlètes des clubs de toutes les Ligues régionales dont 250 issus des 14 clubs de Dakar et le reste venus de l’intérieur du pays ».
Amadou Diouf qui renseigne également que les différentes commissions se sont d’ailleurs réunies pour préparer l’événement de souligner que la délégation de Kolda est la première à avoir rejoint Dakar ce mercredi. L’une des particularités de ces présents championnats réside, toujours selon le Dtn, dans le fait qu’ils sont réservés uniquement aux juniors et séniors, après que les petites catégories aient déjà disputé les leurs.
Cette année encore, les championnats se disputeront sans les athlètes expatriés, a dit Amadou Diouf. Qui explique cette situation par le choix de la Fédération de laisser ces athlètes pensionnaires pour la plupart, dans des clubs français de rester dans leurs formations.
« Là-bas, ils ont la possibilité de disputer plusieurs compétitions et meetings en Europe. Aussi, les Championnats de France ont lieu le week-end du 14 au 16 juillet ; ils ont donc la possibilité d’y participer » ; une opposition plus relevée que celle de Dakar pour ces athlètes qui préparent de grands rendez-vous. En particulier le plus proche, les Jeux de la Francophonie pour lesquels le Sénégal devra mobiliser entre 18 et 20 athlètes. L’absence des expatriés ne devrait tout de même pas baisser le niveau des épreuves, selon Amadou Diouf. Qui souligne que des athlètes comme « Sangoné Kandji, Moulaye Sonko et Mamadou Guéye seront de la partie ».
Aussi, le travail qui se fait dans les régions, à Kolda et au niveau de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, devrait permettre d’avoir des athlètes de haut niveau. Le Dtn souligne également que les athlètes locaux comme expatriés peuvent également profiter de ces différents rendez-vous pour tenter de réaliser les minimas pour les championnats du monde de Londres.
© Le Soleil