Malgré la concurrence qui se dégage au poste, avec notamment Christopher Nkunku, Enzo Maresca a confirmé que Nicolas Jackson resterait le numéro un au poste d’attaquant.
Titulaire contre Bournemouth le week-end dernier, lors de la quatrième journée de Premier League, Nicolas Jackson n’avait pas réussi à faire trembler les filets pour la troisième fois de la saison en Championnat. Sorti à la 79e minute de jeu, l’attaquant sénégalais a vu son remplaçant Christopher Nkunku délivrer Chelsea, en marquant le but de la victoire (0-1) en fin de match (86e). De quoi faire bouger les choses au niveau de la concurrence entre les deux joueurs ? Pas si vite.
En conférence de presse ce vendredi, Enzo Maresca a en effet confirmé que Jackson restait le numéro un en attaque. « À l’heure actuelle, Nicolas (Jackson) est notre attaquant, je n’ai aucun doute au regard de la manière dont il travaille tous les jours. Depuis le début de saison, avec notre façon de jouer nous avons utilisé Nicolas, mais ça ne veut pas dire qu’on n’utilisera pas Marc (Guiu) ou Christopher en numéro 9, en fonction des matches », a d’abord déclaré le technicien des Blues.
Maresca préfère la mobilité de Jackson
Malgré une première saison à 17 buts et 6 passes décisives en 44 matchs toutes compétitions confondues, l’attaquant sénégalais de 23 ans (16 sélections) n’a pas totalement convaincu à Londres, et les dirigeants de Chelsea ont tenté d’arracher un « buteur » cet été. Mais après l’échec dans les dossiers Victor Osimhen ou encore Ivan Toney, les pensionnaires de Stamford Bridge devront se contenter de l’ancien joueur de Villarreal, dont la combativité semble donner satisfaction à Maresca.
« Actuellement, nous sommes très heureux avec Nicolas. Ses chiffres de cette saison et de la saison dernière sont importants. Il va très bien, que ce soit à l’entraînement ou lors des matchs. Il a été très bon à City. Il a marqué et fait une passe décisive contre Wolverhampton. Contre Crystal Palace, il s’est battu jusqu’au bout. Il a bien joué contre Bournemouth. Il a eu deux ou trois occasions, mais parfois, quand on rate des occasions, ça ne veut pas dire qu’on ne joue pas bien », a développe l’ancien entraîneur de Leicester City.
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