Les saccages répétitifs de l’Arène nationale ont choqué tout le monde. Et avaient poussé le CNG à prendre des mesures telles que la sanction financière. Bira Sène et son équipe ont ainsi initié un règlement qui exerce une rétention sur les reliquats des lutteurs dont les supporters sont identifiés comme les auteurs des casses.
Le CNG serait à court d’argent, nous dit le quotidien Record et ne devrait pas être capable de supporter le budget total nécessaire pour réparer tous les dégâts causés par les fans clubs des lutteurs. Donc, il ne serait pas étonnant de voir les travaux arrêtés.
À moins que des bonnes volontés apportent leurs soutiens au «gouvernement de l’arène» afin que toutes les sièges détruits soient remis en bon état. Ce qui est sûr c’est que Bira Sène et son équipe ne cracheront pas sur la main tendue de mécènes pour boucler ce projet.
Avec Record
